Le dégel des relations américano-russes a beau être dans l'air depuis que la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a offert à son homologue russe Sergueï Lavrov un jouet de plastique orné d'une touche «Relance», en Russie, les sentiments antiaméricains ont encore de beaux jours devant eux.
L'opposition radicale à Vladimir Poutine peine décidément à mobiliser. L'hétéroclite coalition L'Autre Russie avait appelé jeudi à une nouvelle manifestation pour réclamer la démission du premier ministre et la liberté de protester dans plusieurs villes russes. À Moscou, le rendez-vous donné aux militants dans une station de métro s'est soldé par une débandade. Le mouvement n'avait pas jugé utile cette fois de demander l'autorisation de manifester, prétextant les refus quasi systématiques essuyés par le passé. Pour parer à d'éventuels désordres, pas moins de quatre mille policiers étaient mobilisés dans le centre de la capitale, selon l'agence Interfax.
No 'Put in' jibes allowed? Then we'll pull out! A Georgian pop group said Wednesday it would bow out of the Eurovision Song Contest, refusing to scrap lyrics punning on Russian Prime Minister Vladimir Putin's name.
En parcourant les dépêches des agences de presse du 6 mars 2009, un titre épatant vole la vedette aux autres : « Gorbatchev vilipende Poutine » ! Quoi ? Serait-ce un persiflage de notre intelligence, une fumisterie de journaux sans ragots pour remplir leur page ou site internet ? Mais non ! Pour de vrai, Gorby, gueule de bois sec d'un occident en crise et en quête de diversion, défraie burlesquement la chronique sur l'ère Poutine accusé de reprendre les pires horreurs du soviétisme, au grand secours et plaisir des fringales de médias sans substance pour nourrir la désinformation interne en Occident. Alors, le vieux Gorbatchev, véritable insecte moribond jusqu'à date, comme un zombi, comme un revenant, et, par la faculté de certaines coquerelles saprophytes à la reviviscence, renaît en force parmi les miettes idéologiques antirusses de l'occident qu'il a tant aidé à détruire son propre pays sous prétexte de réforme. Car la réforme était indéniablement indispensable en Union Soviétique oscillant alors entre une gérontocratie bureaucratique et un stalinisme anachronique. Toutefois, réformer un État se fait dans la réflexion interne, la concertation avec les acteurs de l'intérieur et en usant des moyens réels dans les structures et cela en prenant tout le temps qu'il faut.
Talk of a Medvedev-Putin rift is no longer only talk, as the economic crisis already pulls the two further apart regardless of their intentions, but any rumor of the conflict producing an open split is highly premature, writes Robert M Cutler for ISN Security Watch.
Shortly before he was sent to a Siberian prison in 2005, Mikhail B. Khodorkovsky seemed willing to take on the mantle of a martyr for political freedom in Russia. With his business empire destroyed and his vast fortune gone, he nevertheless vowed to continue his fight against Vladimir V. Putin, then Russia's president, from his prison cell.
"God preserve us from the Russian Uprising, senseless and merciless." The line from poet Alexander Pushkin was quoted to me often by Russians in the dark days of the early 1990s when the Motherland had fallen from grace, communism was collapsing and millions were pitched into unemployment and poverty. Romantic souls, bleary-eyed, would tell me how Russians were born to suffer: to suffer the piercing winter frosts of a vast land, the predations of war and invasion, the shortages, the harshness of their masters. The Russian would suffer patiently, silently; that is, until he could take no more.
The wrong man is in the dock at the second trial of former Russian oil tycoon Mikhail Khodorkovsky. It should be President Dmitry Medvedev. His crime? Failing to break the vengeful grip of his mentor Vladimir Putin, on a case that has become a symbol of political abuse and corruption in Russia.
Vladimir Putin's regime is fighting for its political life. That's the good news. But the bad news is that the Obama administration is sending out mixed messages that may help the Russian autocratic regime survive.
Pirmdien apritēja apaļš gads, kopš Krievijas prezidenta amatā tika ievēlēts iepriekšējā prezidenta Vladimira Putina izvirzītais un atbalstītais Dmitrijs Medvedevs. Medvedevam sākās iesildīšanās laiks - formāli līdz inaugurācijas ceremonijai maija sākumā. Taču šķiet, ka tas nebeigsies līdz pat nākamajām Krievijas prezidenta vēlēšanām.